- le stator qui produit un champ tournant inducteur est constitué par une couronne de tôles minces empilées et isolées entre elles. A l’intérieur se trouvent les enroulements qui peuvent être tripolaires, tétrapolaires,….
- le rotor où circulent les courants induits est un cylindre fait de tôles clavetées sur l’arbre du moteur .Des encoches sont percées dans la tôle où passent les conducteurs qui sont remis en court-circuit.
Ce type de moteur étant une machine à induction, on doit limiter les fuites magnétiques entre le stator et le rotor.
Les calories produites par les différentes pertes sont évacuées à l’extérieur par un ventilateur de refroidissement efficace.
Equations Fondamentales :
- Le Glissement : soit w la pulsation des courants statoriques.
Ws la vitesse angulaire du champs tournant ( tr/s)
W la vitesse angulaire du rotor (tr/s)
Le rotor glisse par rapport au champs tournant à une vitesse de g telle que
g =( Ws - W )/ Ws
Au synchronisme g=0 et W = Ws
- Répartition des puissances :
Cette puissance est transformée en Pertes Joules ( Pjs) et en Pertes fer ou pertes par courant de Foucault ( Pfs).
La puissance transmise au rotor est alors de :
Pt = Pa - (Pjs+Pfs) = Ct. Ws (Ct=couple)
Au niveau du rotor, on aussi des pertes : pertes joules (Pjr) et pertes fer(Pfr)
La puissance restante est nommée Puissance mécanique (Pm) au quelle il aussi aussi soustraire des pertes mécaniques.
L’équation globale est donc sous cette forme :
Pa = Pjs + Pfs + Pjr + Pfr + Pm + Pu
- Démarrage des moteurs asynchrones :
. Le démarrage direct,
. le démarrage étoile – triangle ,
. le démarrage par résistance statorique ,
. le démarrage étoile-résistance-triangle ,
. le démarrage par autotransformateur ,
. le démarrage rotorique.